La première étape de la prévention consiste à rappeler que le protoxyde d'azote n'a rien d'inoffensif. Les campagnes nationales et locales, portées par Santé publique France et relayées par de nombreuses associations, rappellent que ce n'est pas un “gaz drôle”, mais une substance qui peut provoquer des séquelles irréversibles.
Dans les collèges, lycées et universités, des interventions pédagogiques sensibilisent les jeunes aux risques neurologiques, cardiaques et aux accidents liés à l'inhalation.
Affiches, vidéos et témoignages de victimes viennent compléter ces actions pour frapper les esprits et briser l'illusion d'un produit festif sans danger.